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Jean-Paul Baquiast |
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Institut d'Etudes Politiques de Paris 1954, DES de Droit Public et d'Economie
Politique. A consacré sa carrière administrative aux technologies de l’information, au Ministère de l’Economie et des Finances, à la Délégation Générale à la recherche Scientifique et Technique, ainsi qu’au niveau du Premier ministre : Délégation à l’informatique 1967-1973, Comité Interministériel de l’informatique dans l’Administration (CIIBA), 1984-1995. Co-rédacteur en chef et co-fondateur d'“Automates intelligents” (www.automatesintelligents.com), site web et magazine en ligne lancé le 12 décembre 2000 Auteur de divers ouvrages et articles dont :
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Sites Internet :Automates
Intelligents : le site de Jean-paul Baquiast et Christophe Jacquemin
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Pour un principe matérialiste fortL'Europe et le vide de puissance - Essai sur le gouvernement de l'Europe au siècle des super-Etats -Le paradoxe du sapiens - Êtres technologiques et catastrophes annoncées |
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Pour un principe matérialiste fort | |||||||
Collection DécohérenceS :Mars 2007 |
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Présentation par l'auteur :
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La Presse | |||||||
Sortie Mai 2008 |
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L'Europe et le vide de puissance - Essai sur le gouvernement de l'Europe au siècle des super-Etats -
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L’Europe, déjà en manque de souveraineté juridique et politique, ne peut aujourd’hui acquérir la souveraineté économique et technologique dont elle aurait besoin pour résister aux super-États qui dominent le monde. Ceux-ci pratiquent sans complexe l’interventionnisme et la guerre économique, en attendant de s’affronter dans de véritables conflits. À ces risques géopolitiques s’ajoutent les crises climatiques, environnementales et démographiques dont on ne mesure pas encore toute l’ampleur. Ce livre envisage quelques voies permettant aux Européens de combler en partie leur vide de puissance. Elles supposent beaucoup de sacrifices dans le domaine matériel et des investissements considérables dans les sciences, les technologies et les industries nouvelles. Elles pourront réveiller, notamment à l’Est, les vieilles peurs du collectivisme et du dirigisme bureaucratique. Nous voudrions que le lecteur ne s’arrête pas à ces craintes. Il faut bien mesurer que la civilisation européenne ne survivra, dans un monde de trois millards d’hommes aux revenus ne dépassant pas un dollar par jour, que si elle propose à ses ressortissants d’autres perspectives que celle d’une consommation irresponsable.
Plan
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Mars 2010 |
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Le paradoxe du sapiens - Êtres technologiques et catastrophes annoncéesPréface de Jean-Jacques Kupiec
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ISBN : 978-2-916913-25-4 |
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Le Paradoxe du Sapiens propose une réponse surprenante à une question qui nous concerne tous : pourquoi les humains, capables de réalisations extraordinaires dans tous les domaines, se montrent-ils incapables de prévenir les catastrophes - catastrophes qui sont pourtant prévues et annoncées ? La faute en est-elle au développement devenu incontrôlable des technologies ? Est-ce au contraire que l’homme est resté en profondeur ce qu’étaient sans doute ses lointains ancêtres : des chasseurs-cueilleurs prédateurs et belliqueux ? Le Paradoxe du Sapiens répond autrement à cette question. Le livre raconte, avec des arguments scientifiques à la portée de tous, une histoire extraordinaire : comment des générations d’êtres nouveaux, des primates étroitement associés à des outils, ont depuis quelque deux millions d’années pris possession de la Terre en la transformant radicalement. L'histoire s'accélère aujourd'hui avec l'évolution rapide des technologies - notamment celles de l'artificialisation des outils et du vivant - et la place grandissante qu'elles occupent. Ce phénomène est généralement mal compris. On perçoit bien l’évolution technologique mais très mal celle des humains qui sont 'en symbiose' avec les techniques ; techniques qui nous transforment profondément, tout autant, si ce n'est plus, que nous les transformons. De plus, avec l’illusion que l’intelligence humaine est potentiellement toute puissante, on ne voit pas que la coévolution du vivant et de la technique relève de la logique darwinienne stricte, résumée par le principe du hasard et de la sélection. L’auteur ne prétend pas prédire l’avenir.
Un effondrement des civilisations telles que nous les connaissons peut
très bien survenir à échéance de quelques
décennies, mais, à l’inverse, avec le développement
des réseaux de la communication intelligente, ce qu’il nomme
une hyper-science pourrait peut-être apparaître. Elle renforcerait,
au profit d’humains de plus en plus « augmentés »,
les capacités d’action collective rationnelles encore trop
dispersées. Ce sera peut-être là un des nouveaux paradoxes
de l’Homo sapiens de demain, associé aux outils du futur,
s’il survit aux crises actuelles. |
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